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#sh_volcano64_n_copy52 normal #sn_volcano64_n_copy63 highlight #sh_volcano64_n_copy59 Eruption volcanique 0 Groupe1 0 Mount St Helens 0



Le 18 mai 1980 à 8h32 du matin,à la suite d'un fort séisme, tout le flanc nord du volcan s’effondra et provoqua une avalanche de boues et de roches de plus de 2 kilomètres cube. Depuis quelque temps déjà, les scientifiques avaient pu observer un gonflement des flancs de la montagne. Après son écroulement, le sommet est passé d'une altitude de 2 950 m à 2 549 m, soit 401 m de moins. L’éruption a creusé un large cratère (ou caldeira) en fer à cheval, profond de 600 m. Lors de l'éruption explosive, des fragments de toutes tailles jaillirent en gerbe depuis le sommet, puis il y eut une explosion brutale de cendres et de vapeur, qui s'entendit jusqu'à 500 km. La fumée et la masse de cendres qui s'échappaient du sommet du volcan étaient si denses et si rapides qu'en quelques minutes, la colonne atteignit la hauteur de 40 km. Les coulées de boues submergèrent et détruisirent des centaines de kilomètres carrés de forêts, emportant d'énormes troncs d'arbres et des rochers qui détruisirent toutes les infrastructures routières. Les coulées de boues, de cendres et de roches formèrent une énorme avalanche. Vingt secondes plus tard, une immense nuée ardente dévala les pentes à 300 km/h.

L'ancienne vallée de la rivière Columbia fut comblée par 150 m de dépôts et un total de 600 km² de forêts laissèrent la place à autant de collines arides et grises. 57 personnes trouvèrent la mort parmi celles qui avaient refusé l'évacuation, des scientifiques et des journalistes. (Wikipédia)

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Pu`u `Ō`ō (Hawai) 0

Après 3 années d'augmentation lente de l'activité sismique, un système de fractures se crée, et laisse s'échapper fontaines et coulées de lave dès le 25 mars, à 1h25 du matin. Deux heures plus tard, la fracturation se propage vers le nord-est, ouvre le cratère Mokuaeoweo. De nouvelles fontaines apparaissent, alignées sur une fissure éruptive de 2km de long. Les coulées émises par cette fracture avancent rapidement en direction de Hilo. Dès les premiers jours d'avril, l'activité commence à décroitre. Elle s'arrête le 15 avril

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Groupe2 0 Soufrière de Montserrat 0

En mai 1997, le dôme de lave devient si volumineux qu'il commence à déborder d'English's Crater vers le nord et l'Ouest. Des nuées ardentes partent au nord où elles font les premières victimes. La masse énorme du dôme pèse sur la paroi fumerolisée de l'ancien cratère, provoquant une avalanche de débris suivie d'une décompression brutale du dôme. Une imposante coulée pyroclastique se rue alors sur Plymouth, heureusement évacuée, la détruisant presque entièrement. Dès lors, les nuées ardentes affectent les versant Est et Ouest de l'édifice. L'activité dure jusqu'en 2003, marquée par des phases d'effondrement du dôme, des nuées ardentes parfois importantes, et des panaches de hauteurs variables. En juillet 2003, le dôme arrête sa croissance, et l'activité sismique devient relativement faible malgré quelques crises.

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Etna 0

Eruption du 17-07-2001 au 09-08-2001

Après 3 années d'augmentation lente de l'activité sismique, un système de fractures se crée, et laisse s'échapper fontaines et coulées de lave dès le 25 mars, à 1h25 du matin. Deux heures plus tard, la fracturation se propage vers le nord-est, ouvre le cratère Mokuaeoweo. De nouvelles fontaines apparaissent, alignées sur une fissure éruptive de 2km de long. Les coulées émises par cette fracture avancent rapidement en direction de Hilo. Dès les premiers jours d'avril, l'activité commence à décroitre. Elle s'arrête le 15 avril

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Groupe3 0 Montagne Pelée 0
Eruption du 23-04-1902 au 05-10-1905

Des signes précurseurs, non interprétés comme tels à ce moment-là, ont commencé à se manifester dès la fin du 19ème siècle. Il s'agissait alors de séries de petites secousses et l'apparition, dès 1900, de zones fumeroliennes. Dès février 1902, l'activité s'intensifie et se complique lorsqu'une activité phréatique apparait en avril 1902. La rivière blanche est en crue. Les secousses sismiques et les chutes de cendres s'accentuent. Pourtant, le magma n'a pas encore fait surface.
Le 05 mai 1902, la montagne Pelée fait les 23 premières victimes, dans l'usine Guérin, détruite par une énorme coulée de boue qui, arrivant en mer, provoque un petit raz de marée dans le port de St Pierre. Le 06 mai, le magma arrive au fond du cratère de la Pelée, appelé "Caldera de l'Etang Sec" et commence à former un dôme. Les premières nuées ardentes ont lieu le 07 mai. Le 08 mai, à 8h02 du matin, et alors que le ciel est parfaitement dégagé pour la première fois depuis des semaines, une énorme explosion dirigée horizontalement vers le sud-ouest, et donne naissance à une très puissante nuées ardentes. Celle-ci arrive sur St Pierre-la-Martinique, tuant quelques 28 000 personnes, et coulant presque tous les bateaux encrés au port.
La croissance du dôme se poursuit, et régulièrement des explosions le détruisent en partie ceci étant à l'origine d'importantes projections de matériaux. Celle du 30 août fait presque 1500 victimes supplémentaires à Morne Rouge. Dès le 03 novembre 1902, et jusqu'en octobre 1903, le dôme stoppe sa croissance mais est littéralement percé par une aiguille de lave (protrusion). Celle-ci s'élève en permanence mais, son sommet s'effritant continuellement, elle n'atteint qu'une hauteur maximale de 265 m (juillet 1903) alors qu'elle aurait fait plus de 800m de haut si elle ne s'était pas écroulée. La taille du dôme n'augmente que peu, mais son activité le pousse à produire régulièrement des nuées ardentes. Cette activité continue jusqu'en juillet 1905 puis s'arrête, laissant derrière elle un lourd bilan humain, mais aussi une meilleure compréhension des éruptions volcaniques."


Récits de survivants

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Piton de la Fournaise 0
L'éruption du Piton de la Fournaise d'avril 2007, sur l'île de la Réunion, débute le 2 avril. Elle est précédée d'une brève sortie de lave les 30 et 31 mars qui peut être considérée comme la première phase de l'éruption.

Elle s'achève le 1er mai 2007 , mais la persistance de signaux sismiques caractéristiques de mouvements profonds de magma font présager une suite possible à cette éruption.

Le Piton de la Fournaise, l'un des volcans rouges les plus actifs de la planète, entre en éruption fréquemment, en moyenne plus d'une fois par an. Mais celle d'avril 2007 développe dès les premiers jours un caractère exceptionnel par son intensité et par les évènements naturels qui lui sont associés. L'altitude d'éruption (vers 650 m) et la rapidité d'atteinte de l'océan (en moins de 12 heures) par les coulées volcaniques sont inhabituelles. Les débits de sortie de la lave atteignent des valeurs extraordinaires (plus de 100 m³ par seconde) ainsi que les hauteurs des projections (plus de 100 m). Au bout d'un mois d'éruption, le volume total de lave émise est évalué à 120 millions de m³. La vidange des chambres magmatiques provoque un effondrement sommital : le cratère Dolomieu devient, par engloutissement d'environ 150 millions de m³ de roches, un puits profond de plus de 350 m.

Les effets humains sont également sensibles. Les habitants du village du Tremblet tout proche de l'éruption vivent dans l'angoisse d'une coulée de lave dans le village comme en 1986 et dans la désolation d'une végétation ravagée par les retombées de sable chaud, les pluies acides et les incendies. L'ensemble de La Réunion est touchée par la pollution et les émissions de cheveux de Pélé. Les cheveux de Pélé sont une formation volcanique qui prend la forme de long et fins filaments de lave étirés par le vent. Ces formations ne peuvent provenir que de lave basaltique très fluide comme c'est le cas au Piton de la Fournaise.

En trois siècles et demi d'occupation humaine de l'île, on n'a jamais observé des phénomènes d'une telle ampleur. À l'échelle de l'histoire géologique du massif du Piton de la Fournaise, vieux d'environ un demi-million d'années, il est en revanche probable que des épisodes comparables se sont produits à de nombreuses reprises.

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Groupe4 0 Mont Unzen 0
Dès le mois de Novembre 1989, une activité sismique, est enregistrée sous le dôme Fugen-Dake. En juillet 1990, un trémor(*) fait parfois son apparition et les choses se concrétisent le 17 novembre, lorsqu'un panache de vapeur est observé par les habitants de Shimabara, s'élevant au-dessus de 2 évents situés sur le flanc Est du Fugen-Dake. Cette activité va perdurer jusqu'au 12 mai 1991, date d'apparition du magma. Le 20 Mai 1991, le dôme fait son apparition dans le cratère sommital Jingoku-ato. Plus de 1200 personnes sont évacuées en Mai 1991, à cause des retombées de cendres qui, quoique peu importantes, sont remobilisées en lahars (**) dans la rivière Mizunashi.
Le 3 juin 1991, une importante nuée ardente se propage jusqu'à environ 3 km à l'Est du sommet. Elle donne naissance à une déferlante pyroclastique qui touche la zone de Kita-Kamikoba, point d'observation d'une quarantaine de personnes, dont Katia et Maurice Krafft. De nombreux dégats sont rapportés à Shimabara, mais il n'y a pas d'autres victimes. Dès 1994, l'activité devient moins intense et va en diminuant jusqu'en février 1995, date à partir de laquelle il ne se passe plus rien.

source : http://www.activolcans.info

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(*) Trémor : séisme volcanique engendré par la remontée du magma lors d'une éruption volcanique.
(**) Lahars : coulée boueuse d'origine volcanique]]>
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Mauna Loa (Hawai) 0 1
Après 3 années d'augmentation lente de l'activité sismique, un système de fractures se crée, et laisse s'échapper fontaines et coulées de lave dès le 25 mars, à 1h25 du matin. Deux heures plus tard, la fracturation se propage vers le nord-est, ouvre le cratère Mokuaeoweo. De nouvelles fontaines apparaissent, alignées sur une fissure éruptive de 2km de long. Les coulées émises par cette fracture avancent rapidement en direction de Hilo. Dès les premiers jours d'avril, l'activité commence à décroitre. Elle s'arrête le 15 avril

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Groupe5 0 Piton de la Fournaise 0
L'éruption du Piton de la Fournaise d'avril 2007, sur l'île de la Réunion, débute le 2 avril. Elle est précédée d'une brève sortie de lave les 30 et 31 mars qui peut être considérée comme la première phase de l'éruption.

Elle s'achève le 1er mai 2007 , mais la persistance de signaux sismiques caractéristiques de mouvements profonds de magma font présager une suite possible à cette éruption.

Le Piton de la Fournaise, l'un des volcans rouges les plus actifs de la planète, entre en éruption fréquemment, en moyenne plus d'une fois par an. Mais celle d'avril 2007 développe dès les premiers jours un caractère exceptionnel par son intensité et par les évènements naturels qui lui sont associés. L'altitude d'éruption (vers 650 m) et la rapidité d'atteinte de l'océan (en moins de 12 heures) par les coulées volcaniques sont inhabituelles. Les débits de sortie de la lave atteignent des valeurs extraordinaires (plus de 100 m³ par seconde) ainsi que les hauteurs des projections (plus de 100 m). Au bout d'un mois d'éruption, le volume total de lave émise est évalué à 120 millions de m³. La vidange des chambres magmatiques provoque un effondrement sommital : le cratère Dolomieu devient, par engloutissement d'environ 150 millions de m³ de roches, un puits profond de plus de 350 m.

Les effets humains sont également sensibles. Les habitants du village du Tremblet tout proche de l'éruption vivent dans l'angoisse d'une coulée de lave dans le village comme en 1986 et dans la désolation d'une végétation ravagée par les retombées de sable chaud, les pluies acides et les incendies. L'ensemble de La Réunion est touchée par la pollution et les émissions de cheveux de Pélé. Les cheveux de Pélé sont une formation volcanique qui prend la forme de long et fins filaments de lave étirés par le vent. Ces formations ne peuvent provenir que de lave basaltique très fluide comme c'est le cas au Piton de la Fournaise.

En trois siècles et demi d'occupation humaine de l'île, on n'a jamais observé des phénomènes d'une telle ampleur. À l'échelle de l'histoire géologique du massif du Piton de la Fournaise, vieux d'environ un demi-million d'années, il est en revanche probable que des épisodes comparables se sont produits à de nombreuses reprises.

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Galunggung 0 Date de l'éruption : Du 05-05-1982 au 08-01-1983

Début avril de fortes explosions se déroulent sur le volcan avec des projections de blocs incandescents de plusieurs dizaines de centimètres de diamètre. Puis des lahars(*) chauds dévallent les pentes de l'édifice jusqu'à 11 km de distance. Les panaches atteignent plus de 2 km d'altitude. Des coulées pyroclastiques (ou nuées ardentes) détruisent tout sur plus de 4,7 km de distance. A partir de juin, plus de 90% du dôme de 1918 est détruit et la hauteur de la colonne éruptive dépasse les 16 km. Des centaines de maisons sont détruites à cause des 18 cm de cendres qui se sont déposés à plus de 10 km à l'ouest du volcan. Un jumbo jet a perdu 7,5 km d'altitude avant que les 4 moteurs ne se rallument. Suite à ces importantes explosions 40 000 personnes ont été évacuées, puis 22 000 de plus suite à des avalanches rougeoyantes et des lahars. Des cendres se déposent à Sydney, en Australie. A partir du mois de septembre, les explosions sont de plus en plus espacées et de plus en plus faibles. Seuls les lahars représentent encore un danger non négligeable. Les dernières explosions sont rapportées pendant le mois de janvier 1983.

Visualiser la vidéo (*) lahars : coulées boueuses d'origine volcanique.]]>
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Groupe6 0 Etna 0

Eruption du 17-07-2001 au 09-08-2001 Après 3 années d'augmentation lente de l'activité sismique, un système de fractures se crée, et laisse s'échapper fontaines et coulées de lave dès le 25 mars, à 1h25 du matin. Deux heures plus tard, la fracturation se propage vers le nord-est, ouvre le cratère Mokuaeoweo. De nouvelles fontaines apparaissent, alignées sur une fissure éruptive de 2km de long. Les coulées émises par cette fracture avancent rapidement en direction de Hilo. Dès les premiers jours d'avril, l'activité commence à décroitre. Elle s'arrête le 15 avril

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Nevado del Ruiz 0

Date de l'éruption : Du 11-09-1985 au 13-07-1991

Après plus d'un siècle de repos, le Nevado del Ruiz connaît une période d'augmentation de son activité sismique et fumerollienne de fin 1984 à septembre 1985. Le 11 de ce mois, des émissions de cendres importantes témoignent d'une élévation de l'activité explosive phréatique dans la zone sommitale englacée. Un lahar parcourt 27 km. En octobre, seuls des panaches de vapeur sont observés. L'activité sismique reprend de la vigueur le 10 novembre, sans pour autant atteindre le niveau enregistré le 11 septembre. Sans signe précurseur notable, de violentes explosions débutent le 13 novembre vers 15h45. Des lapillis(*) commencent à retomber sur la ville d'Armero (50 km) vers 17h30. L'activité explosive est accompagnée de nuées ardentes. Des lahars se déclenchent, par fusion des glaces sommitales, dans 11 vallées radiales du volcan. Un lahar(**), progressant à 50 km/h, débouche de la vallée Rio Lagunillas sur la ville d'Armero vers 23h35. Cette dernière, non alertée, voit entre 22 000 et 25 000 de ses habitants périr dans les flots boueux. Le 4 janvier 1986, 15 000 personnes sont évacuées après une phase explosive modérée mais aucun lahar ne se déclenche. Jusqu'en mars 1989, l'activité sismique reste élevée, tout comme les taux d'émission de SO2 et de très nombreuses explosions, faibles à modérées, se produisent. Ensuite, et jusqu'en juillet 1991, l'activité décline régulièrement. Lapillis : Un lapilli (du latin lapillus, « petite pierre ») est un fragment de lave éjecté par les volcans (un ejecta). La taille d'un lapilli est comprise entre 2 et 30 mm ou 2 et 64 mm selon les classifications[1]. Lahar : Un lahar est une coulée boueuse d'origine volcanique. Elle est principalement formée d'eau, de cendres volcaniques et de tephras et se rencontre donc le plus souvent sur les pentes des « volcans gris » émettant des laves andésitiques. « Lahar » est un mot d'orignine indonésienne.

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Le volcan Eldfell est un volcan récent et actif en Islande sur l'île de Heimaey dans l'archipel des Vestmann.

Il est "né" brutalement le 22 janvier 1973. Son éruption avait entrainé l'évacuation de la population de l'île. Une coulée de lave a détruit partiellement la petite ville de Vestmannaeyjar. Des bombes enflammées de plusieurs centaines de kilos, lancées à 3 000 mètres d'altitude, sont retombées dans un sifflement assourdissant, traversant les toits et allumant des incendies. L'épisode resté célèbre est l'arrosage continu d'une des coulées de lave par pompage d'eau de mer (plusieurs millions de tonnes d'eau), coulée qui menacait d'obstruer le port de pêche, l'un des plus actifs du pays. Cet arrosage a entrainé le refroidissement et le détournement de la coulée (ce point est contesté par certains vulcanologues).

(source : Wikipédia) Visualiser la vidéo]]>
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Ruapehu 0
Après environ 6 mois d'activité sismique élevée, le trémor(*) subit une augmentation importante à la mi-juin. Le 17 juin 1996 au matin,les premières explosions et les premiers panaches de 5 à 7 km apparaissent. Jusqu'au 1er septembre, d'autres émissions de cendres légères se produisent, mais dans une tendance de baisse d'activité sismique et volcanique.

Des cendres se forment au-dessus du cratère central et s'élèvent à plusieurs kilomètres. Elles retombent jusqu'à 35 km et le volcan passe en alerte 3. Un petit lahar(**) dévale dans la vallée Whangaehu. Puis, l'activité change pour passer, en fin de journée, à des explosions fortes. Jusqu'à fin juin et en juillet, de nouvelles petites émissions de cendres et des panaches de gaz sont observés. Les 7, 8 et surtout le 20 juillet, de nouvelles phases explosives ont lieu.

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(*)trémor : séisme engendré par la remontée du magma lors d'une éruption volcanique.
(**)lahars : coulées boueuses d'origine volcanique.]]>
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